9 octobre 2019 à 14:34
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AFRICANEWS
Les combats se poursuivent hors du camp de Yarmuk, au sud de la capitale libyenne. Et la population civile au même titre que les migrants et refugiés sont des victimes collatérales de ces violents affrontements.
Les milices tripolitaines se battent au nom du gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale et dirigé par Fayez al-Sarraj.
Dépourvu d’armée et de forces de sécurité régulières solides, le GNA est contraint de s’appuyer sur ces milices pour combattre le gouvernement non reconnu est incarné par l’homme fort de l’Armée nationale libyenne (ANL), le maréchal Khalifa Haftar.
“Si Dieu le veut,...